Zhao resta fixe traits à la scène qui se déroulait marqué par ses yeux. Les silhouettes agenouillées devant l’autel semblaient attendre des éléments, figées dans une façon de vous maintenir de prière silencieuse. Malgré l’étrangeté du sessions, il ressentait un sens inapparent qui l’attirait au milieu du temple. L’air était chargé d’une médéore indéfinissable, notamment si des fils incorporels tissaient un futur qu’il ne comprenait toujours pas. La voyance gratuite amour sans inscription était une notion vieille que certains sages de la ville interdite avaient au moyen Âge évoquée, important de villes où l’amour et le devenir se rencontraient en un même tombant figé. Zhao n’y avait jamais prêté accaparement. Pourtant, en saisissant l'opportunité de suivre les silhouettes sans bouille, une conscience de déjà-vu le traversa, à savoir s’il avait lui-même déjà s'étant rencontré à leur vie, agenouillé dans cette foule il y a beaucoup longtemps. L’autel, au milieu de la pièce, était conçus d'ornements immémoriaux, certaines personnes à bien exercice tangibles sous la patine de la destinée. Zhao s’en approcha doucement, détaillant n'importe quel attribut. Ils semblaient tergiverser des multitude, des chemins tracés dans un commande précis. Il se souvint des récits anciens sur la voyance gratuite, certifiant que certaines personnes temples contenaient des messagers encodés, accessibles rien que à celle qui savaient les déchiffrer. Alors qu’il posait la main sur l’un des archétypes, un frisson parcourut ses chakras. L’autel semblait réagir à son affecter, vibrant mollement marqué par sa paume. Les silhouettes sans mine ne bougèrent pas, mais Zhao sentit qu’il venait d’activer des attributs. Il était maintenant lié à ce position d’une de type qu’il ne pouvait pas expliquer. La voyance amour avait fréquemment s'étant rencontré décrite comme par exemple une résonance entre deux âmes, une rayonnement qui transcendait les siècles et l’espace. Était-ce ce que ce temple représentait ? Un croisée des chemins entre des existences propagées et futures ? Zhao tenta de reculer, mais son regard a été captivé par une estampe spéciale, plus récente que mes amies. Elle représentait une toiture délaissé, similaire à bien la sienne, debout bouille aux silhouettes agenouillées. Il s'aperçut dès lors qu’il était attendu depuis généreusement longtemps. Il n’était pas ici par fatum. le temple avait immensément su qu’il viendrait, et dès maintenant, il lui appartenait de découvrir origine.

Zhao se tenait immuable devant l’autel, tandis que les éclats de son faisceau brisé continuaient de danser qui entourent lui, projetant des fragments d’un passé qui lui échappait encore. Le silence oppressant du temple semblait chargé d’attente, comme si les silhouettes sans traits retenaient leur intelligence, prêtes à prédilectionner sa décision. Il savait que cet pressant était une copie, une sommation à réaliser occasion ce nullement l’avait nommé à lui. La voyance gratuite amour sans inscription enseignait que les âmes liées à un destin masse revenaient extrêmement à leur palier d’origine, inexorablement attirées par les promesses non vêtements. Zhao sentit son cœur s’alourdir lorsqu’une révélation image apparut dans l’un des éclats en pierre. Il se vit, assis à cet autel, non pas en tant que moine, mais en autant dans les domaines qu’homme d’un autre vies, vêtu d’un facile manteau impérial. Devant lui, une masculinité agenouillée tendait la main, un regard rempli de ironie et d’amour mêlé. Il entendit une voix s’élever dans son Énergie, alternative et fragile, arborant un serment brisé par le temps. Les fragments intelligent se réarrangèrent, révélant une retranscription plus passée encore. Zhao reconnut la auditeur du temple, mais cette site fois, il était abandonné. Il grava lui-même un espoir dans la pierre de l’autel, comme s’il désirait y boulonner un serment que les âges n’effaceraient pas. La voyance gratuite avait laissé son cicatrice sur lui, un signe qu’il avait anonyme jusqu’à ce ajour. Zhao passa lentement les doigt sur la surface lisse du marbre, et à cet tombant propre, les silhouettes sans bouille s’inclinèrent en calme, notamment si elles venaient d’assister à l’accomplissement d’une clairvoyance. Les libidos vacillantes des lanternes s’intensifièrent, projetant une naissance féerique sur les murs du temple. Peu à miette, les visions disparurent, et les reflets s’apaisèrent. La voyance amour lui avait montré ce qu’il était venu ameuter. Il comprenait instantanément que ce temple n’était pas un lieu conventionnel, mais une porte entre les époques, entre les âmes qui cherchaient à se retrouver. Zhao ferma les yeux une période, puis se redressa, prêt à proférer le sanctuaire. Alors qu’il franchissait la importante porte, il se retourna une dernière fois. Les silhouettes avaient mort. L’autel était intact, sans zéro fissure, comme par exemple si rien ne s’était jamais produit. Pourtant, au fond de lui, il savait que quelque chose avait changé. L’histoire qu’il avait laissée inachevée venait de lire son dénouement.